La Cour a jugé que la grande majorité de ces transferts n’étaient pas justifiés par des impératifs de sécurité.
En raison de problèmes de discipline et de violence, des mesures d’exception lui ont été infligées à répétition. Farid Bamouhammad (dit Farid-le-Fou) fut notamment entravé aux poignets et aux chevilles pendant ses 10 jours de détention à la prison d’Ittre en 2007. De 2008 à 2014, son comportement violent a amené les prisons à le mettre à l’isolement, alors que son état de santé mentale se détériorait, note la Cour.[…] Source
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