Les premiers cas d’« apologie publique d’acte de terrorisme » n’ont pas tardé à se manifester après les attentats de vendredi soir.
Deux affaires sont déjà signalées dans la Marne, la première à la maison d’arrêt de Châlons-en-Champagne où un détenu rémois de 29 ans aurait crié « Vive Daesh », lundi, alors qu’il se trouvait dans l’unité sanitaire de l’établissement. Il sera jugé le 11 décembre.
Toujours lundi, c’est à Reims que le passager d’un bus s’est fait remarquer lors d’une altercation avec un contrôleur. Il a sorti un tournevis puis mimé, de sa main libre, un geste d’égorgement tout en déclarant : « Mes frères vont te couper la gorge ! Je vais partir à Paris tuer des gens ! »
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