“Ces individus ont profité de la crise des réfugiés, notamment au moment de ce chaos, peut-être, pour certains d’entre eux, se glisser…” en France, a indiqué le Premier ministre, sans finir sa phrase. Il a aussitôt ajouté que “d’autres étaient en Belgique, déjà. D’autres, je veux le rappeler, étaient en France”, a-t-il assuré.
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Valls: des auteurs “ont profité de la crise des réfugiés pour se glisser” en France https://t.co/vLc4ar8pNy pic.twitter.com/nQZmQj1NT3
— BFMTV (@BFMTV) November 19, 2015
Le Premier ministre a affirmé que certains des auteurs des attentats “ont profité de la crise des réfugiés (…) pour se glisser” en France. Il a aussitôt ajouté que “d’autres étaient en Belgique, déjà. D’autres, je veux le rappeler, étaient en France”, a-t-il assuré.
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Le Premier ministre Manuel Valls a indiqué ce soir sur France 2 «ne pas savoir» comment Abdelhamid Abaaoud, cerveau présumé des attentats qui ont touché Paris et Saint-Denis, était entré en France.
«A ce stade, nous ne le savons pas», a reconnu le locataire de Matignon au sujet d’Abaaoud, tué hier dans un assaut policier à Saint-Denis, prévenant qu’il n’y a «pas de frontière hermétique» et «pas de risque zéro».
Face à la menace terroriste, le premier ministre ne pense pas que la fermeture des frontières nationales constitue une solution. «Quand Schengen n’existait pas, quand il y avait des contrôles aux frontières, la France était déjà touchée par des attentats», a déclaré Manuel Valls sur le plateau du journal télévisé de France 2.
Ajoutant toutefois : «moi je crois aux frontières» mais précisant : «européennes». «Aujourd’hui les frontières sont celles de l’Union européenne donc elles doivent fonctionner», a-t-il dit. Relevant que «les frontières extérieures de l’Union européenne doivent être renforcées (…) Nous le disons depuis des semaines, des mois, des années».