“Lorsque les services de lutte antiterroriste repèrent quelqu’un qui est à la SNCF, ils ne nous donnent pas la fiche S mais ils donnent l’information que telle ou telle personne doit faire l’objet d’une ‘mesure particulière’. On ne licencie pas la personne mais en fonction de son poste, on peut la muter“, a déclaré Guillaume Pepy.
Le directeur de la SNCF a ajouté que le personnel disposant d’une fiche S ne pouvait ni travailler à l’aiguillage, ni conduire un train, ni travailler dans les services de sécurité.