Alors que la Macédoine ne laisse plus pénétrer sur son territoire que les ressortissants afghans, irakiens et syriens, plus de 2.000 migrants originaires d’autres pays — notamment du Bengladesh, d’Iran, de République démocratique du Congo, du Maroc, du Sri Lanka, etc — se sont couchés sur les voies ferrées, dans le no man’s land entre la Grèce et la Macédoine. Ils menacent d’entamer une grève de la faim. Leur nombre ne cessaient d’augmenter samedi après-midi.
Merci à Asimov