Les attentats du vendredi 13 novembre 2015, survenus moins d’un an après ceux qui ont visé Charlie Hebdo, posent la question du jihadisme et de son idéologie, mais aussi et avant tout du jihadiste qui passe à l’acte et commet des crimes de sang-froid.
Que se passe-t-il dans sa tête ? D’où vient sa résolution et comment comprendre sa frénésie dans la tuerie, jusqu’à sa mort préméditée comme un accomplissement de son destin par le martyre?