Les avis sont partagés, près de deux semaines après les attentats. Pour certaines personnes qui résident à proximité d’un centre d’accueil à Cergy-Pontoise (Val-d’Oise), les demandeurs d’asile ne doivent pas être visés par des amalgames. Mais les inquiétudes sont parfois présentes.
“Il y a une crainte réelle et elle est dramatique“, reconnaît un bénévole du Secours Populaire. D’autres enfin, s’impatientent d’une situation temporaire qui dure.