De Guillaume, la jeune femme dresse le portrait d’un homme “ouvert d’esprit”, dynamique et joyeux. Il avait quitté sa ville Cherbourg (Manche) pour Paris où il était serveur. “Il cherchait toujours une excuse à la méchanceté des gens. Si quelqu’un était méchant, c’est parce qu’il avait peut-être une raison de l’être donc il ne fallait pas forcément lui en vouloir. Il fallait vraiment chercher la cause du problème”, poursuit Anaïs.
Guillaume Le Dramp avait beaucoup d’amis de culture musulmane. Alors dimanche 15 novembre, deux jours après sa mort, Anaïs et sa famille ont décidé en sa mémoire de se rendre à la mosquée de Cherbourg pour dialoguer. “Le message qu’on a eu c’était vraiment : ‘On n’est pas contre vous, ce n’est pas de votre faute, ne vous sentez pas coupables'”.
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Merci à marco64