Après les attentats de Paris, les préfets de plusieurs départements ont décidé de la fermeture administrative de mosquées, fréquentés par des salafistes, selon les autorités, ou présentant des risques de radicalisation.
C’est le cas de la salle de prière de Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine, et de L’Arbresle dans le Rhône. A chaque fois, les réactions oscillent entre colère et incompréhension.