La Société des transports intercommunaux de Bruxelles (Stib) s’est séparée d’un groupe de 4 à 5 de ses travailleurs, pointés par les services de sécurité comme « radicalisés » ou « représentant un danger pour leur activisme musulman radical », rapporte samedi l’Echo, citant plusieurs sources fiables et indépendantes.
Certains de ces travailleurs auraient effectué des voyages vers la Turquie et/ou la Syrie pour rejoindre ou entrer en contact avec l’Etat islamique.
Parmi ceux ayant fait des voyages vers la Syrie, certains étaient en congé « maladie » – ce qui rend les licenciements très sensibles. En effet, rien ne permet de se séparer d’un collaborateur pour « radicalisation » ou pour avoir effectué des séjours à l’étranger.
Interrogé, le patron de la Stib, Brieuc de Meeûs, se refuse à infirmer ou confirmer ces informations.
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