Pour Karel Van Eetvelt, président de l’union flamande des entrepreneurs indépendants (Unizo), il ne fait aucun doute que nos entreprises ont besoin des migrants. Il expliquait ce week-end au journal De Zondag que différentes orientations techniques et technologiques en Belgique souffrent d’une demande de travail plus grande que l’offre disponible. “Soit ces entreprises partent à l’étranger, soit nous comblons cette lacune par des migrants.“
“Nous examinons cela de manière très rationnelle. Le point de départ de notre raisonnement est, et à ce sujet il n’existe même aucune discussion, qu’il n’y a pas d’autre option que d’accueillir les réfugiés en Belgique. Et, pour le temps que ces personnes passent ici, de leur donner une place valorisante dans notre société. Cela me paraît logique“, a-t-il encore expliqué.
“Et comment mieux y parvenir qu’en les insérant immédiatement dans l’économie, afin qu’elles puissent créer de la valeur ajoutée ? Nous avons déjà obtenu que la procédure pour une carte de travail soit réduite de six à quatre mois. En ce qui me concerne, cela n’est même pas encore suffisamment rapide“, a déclaré M. Van Eetvelt.
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