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L’un des kamikazes du Stade de France avait été signalé par son école comme s’étant radicalisé, mais les informations n’ont pas été transmises aux autorités.
L’école de Bilal Hadfi, située à Bruxelles, s’est rendu compte que quelque chose clochait en début d’année, lorsque le jeune homme s’est mis à célébrer les attentats de Charlie Hebdo. Et régulièrement, il prononçait des opinions radicales en classe.
D’après le journal belge Le Soir, l’établissement a alors tenté de prévenir les autorités, en vain : toutes les signalisations sont restées bloquées au niveau de l’administration. En février, le jeune homme de 20 ans est parti en Syrie. Il est ensuite revenu en Europe, et a explosé le 13 novembre, aux abords du Stade de France.
Son école avait prévenu les autorités de son départ dès le 27 avril, mais ce n’est qu’après les attentats qu’elles ont eu connaissance des antécédents scolaires du jeune homme. Les autorités belges vont enquêter pour connaître les raisons de cette absence de transmission d’information.

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Merci à Marino

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