Les uns sont remontés comme des coucous suisses, les autres sont au bord de la crise de nerfs. Il faut dire que les tracas durent depuis deux ans dans cette impasse qui jouxte le cavalier et le chemin pédestre de la trame verte.
Après le caillassage quotidien des habitants de la rue Gustave-Lecointe, ce sont ceux de la rue Schweitzer qui subissent régulièrement des cambriolages. Un nouveau cambriolage suivi d’une agression physique ont fait déborder le vase.
« Il y a au minimum un cambriolage par mois, parfois plusieurs dans la semaine, cela devient insupportable », affirme Stéphane, excédé. L’ensemble des riverains est unanime, « c’est un stress quotidien. Notre premier réflexe quand on rentre chez nous est de regarder si notre maison n’a pas été fracturée. Nous ne sommes plus en sécurité », renchérit Delphine. […]
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