Depuis sa création en 1974 pour faire face à la menace terroriste, ils sont très nombreux à vouloir rejoindre le groupe d’Intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), cette unité d’élite de 400 hommes.
La sélection est implacable, il faut être gendarme, avoir moins de 34 ans et surtout réussir de longues semaines de tests physiques et psychologiques. Sur 130 candidats cette année, une trentaine ont été retenus jusque-là, dont deux femmes.