L’écrivain néerlandais Hafid Bouazza , né à Oujda (Maroc), met en garde l’Europe et sa « trop grande tolérance » envers l’islam.
« Nous sommes si tolérants que cela en devient de la docilité », a indiqué l’écrivain, samedi 9 janvier, au quotidien belge De Standaard.
«Toute personne qui a approché de près cette mentalité, le machisme pathologique de l’homme arabe, ne peut s’étonner de ce qui s’est déroulé à Cologne » : celui qui écrit cela est Hafid Bouazza, un écrivain d’origine marocaine vivant aux Pays-Bas depuis l’âge de 7 ans.
« Dans le monde arabe, un petit garçon apprend dès le biberon qu’il est supérieur à sa sœur. (…) Nous avons affaire à quatre cents années d’endoctrinement. »
[…] Bouazza déplore que des humoristes néerlandais aient renoncé à brocarder l’islam, même s’il dit le comprendre, car il s’agirait, selon lui, d’une question de vie ou de mort. « On ne doit évidemment pas mourir pour la liberté de parole, ajoute-t-il, moi-même je ne crois pas au martyre .» […]
Interrogé sur son positionnement, il a expliqué qu’il « ne participerait jamais à une réunion du Front national ». Toutefois, a-t-il ajouté, « si cela s’appelle extrême droite, je préfère cette vision à la rigidité de l’islam ». Et de conclure : « Pourquoi, en fait, Marine Le Pen ne pourrait-elle défendre les valeurs de la France ? »[…]