Paris – “L’élan du coeur est sans cesse entravé”: malgré un bref élan de solidarité à la mort du petit Aylan, les ONG peinent à faire jouer la générosité pour les réfugiés, malgré des besoins comparables à ceux des catastrophes naturelles.
(….) “Les gens n’ont pas arrêté de donner mais il y a eu un état de sidération et la jauge est descendue à un niveau extrêmement bas”, ajoute la responsable, qui note qu’en matière humanitaire, “il faut qu’il y ait un élan du coeur, sans parasitage. Et là on est typiquement sur une situation où l’élan est sans arrêt entravé”.
Même constat chez Médecins du monde, qui a vu la collecte “très nettement en baisse” à partir de mi-novembre, selon Benoît Duchier, responsable de la collecte, qui parle d’un sujet “pas très fédérateur”.
(…) L’Express
Il y a deux jours un article disait l’inverse :
« Les Français de plus en plus nombreux à vouloir accueillir des réfugiés chez eux » https://t.co/IimPJexVmo
— Fdesouche (officiel) (@F_Desouche) January 25, 2016
