À sa sortie, étant en situation irrégulière, il avait été placé en centre de rétention en attendant d’être renvoyé dans sa Tunisie natale. Mais ayant formulé un recours, il avait été libéré il y a à peine quelques jours, dans l’attente de la décision finale
Placé en garde à vue, il a explosé de rage dans sa cellule, frappant murs et porte et se lacérant le torse avec ses ongles. Les policiers ont alors voulu l’emmener à l’hôpital, mais l’homme a refusé de se laisser menotter et les a couverts d’insultes. (…)
Merci à Yabonlaseku