Sur les 282 assignations à résidence prononcées depuis le début de l’état d’urgence, seules 38 ont été abrogées par le Conseil d’État. Parmi ceux visés par ces mesures, beaucoup se posent des questions comme Merouche Derkaoui.
Cet homme de 33 ans rejette toute accusation de radicalité. Conséquence de son assignation à résidence, il ne peut plus travailler et sa société devrait bientôt déposer le bilan.