21/02/2016
Quatre manifestants réputés d’extrême droite ont été interpellés, selon les autorités locales, pour avoir bravé une interdiction préfectorale de se rassembler pour «la défense des Calaisiens», samedi.
Merci à Rick Grimes et Lug
20/02/2016
Cent cinquante policiers, CRS et agents de la Sécurité publique répartis en une quinzaine de cars, avaient été déployés en ville pour empêcher le déroulement de cette initiative. Ces manifestants, des ex-légionnaires ou parachutistes, voulaient initialement tenir un rassemblement au stade du Souvenir, mais la mairie de la ville avait affirmé que le lieu n’était pas disponible, avant que la préfecture ne prenne un arrêté d’interdiction de cette manifestation.[…]
L’ancien militaire originaire de Calais est parvenu à déposer une gerbe devant le monument aux morts des cheminots face à la gare de Calais. Auparavant, il avait tenté de déposer des fleurs face à l’Hôtel de Ville, devant le monument au Souvenir français dédié aux «morts pour la France» d’avant les deux guerres mondiales. Sans succès, en raison de la présence de cordons de CRS, qui ont interpellé l’ancien militaire. Trois autres manifestants ont ensuite été interpellés pour avoir tenté d’enfreindre l’interdiction de se rassembler, soit un total de quatre selon le sous-préfet de Calais, Vincent Berton. Peu avant 15h00, les CRS ont dispersé les manifestants, dont le rassemblement a pris fin. «Tout ça s’est fait sans heurt», s’est félicité le sous-préfet . «Nous n’avons pas besoin de perturbateurs (…), on est déjà dans une situation difficile, cette ville a besoin de sérénité et de calme», a-t-il ajouté.
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Merci à Rick Grimes