L’ancien candidat à la présidentielle de 2012, et qui s’est déjà lancé dans la course à 2017, a contesté les informations selon lesquelles Moscou viserait en priorité les rebelles afin de renforcer son allié Bachar al-Assad et dénoncé la “propagande” venant de tous les camps.
L’eurodéputé a même “félicité” sans détour le président russe Vladimir Poutine pour son action menée conter Daesh. A la journaliste Léa Salamé, qui lui demandait s’il était “pour ce que Vladimir Poutine est en train de faire en Syrie“, le membre du Parti de Gauche a répondu sans détour “oui”. “Je pense qu’il va régler le problème“, a-t-il insisté.