Ils sont arrivés il y a environ deux mois à Lons, et pourtant, du Jura, ils connaissent peu de choses. Faute d’argent et de connaître le français, ils se rendent au centre-ville à pied, depuis les locaux de l’Association pour la formation professionnelle des adultes (Afpa) dans lesquels ils sont logés. Une dizaine de kilomètres chaque jour pour briser la monotonie. Farouk est le seul à parler anglais. C’est aussi le seul Pakistanais. Ses 24 camarades sont Afghans, l’un vient d’Iran. […]
Merci à Jesse James