Le 30 décembre, un détenu d’une trentaine d’années, toxicomane et incarcéré pour violences d’après plusieurs sources, rentre, le soir, après sa journée passée à chercher du travail. Le système est le suivant : les détenus, en réinsertion, sont censés travailler, ou chercher un emploi, le jour, et être enfermés nuitamment dans ce qui semble être à mi-chemin entre une prison et un foyer.
La porte ne ferme pas !
Sauf que la porte ne ferme pas ! « Tous les soirs, un surveillant devait se garer devant pour la condamner. » Cette fois, pas de voiture, et un détenu qui « s’évade », au sens juridique, c’est-à-dire qu’il s’en va. Il sort de détention, en poussant la porte…
(…) La Voix Du Nord