On interdit l’accès à une population bien précise, pour que les autres aient de la place. Ce sont des pratiques dignes de l’apartheid!» Yannick Hagmann, bénévole lucernois qui travaille avec des requérants d’asile ne mâche pas ses mots. La semaine dernière, il a voulu en emmener quelques uns à la piscine couverte de Meggen (LU), pour «les sortir de leur quotidien triste et morne», relatait dimanche le «SonntagsBlick».
Arrivés sur place, un garde-bain leur a expliqué les règles imposées par la commune: pas plus de trois requérants à la fois. (…)
Merci à livercingetorix