À Landshut (Bavière), il y a déjà 2.000 réfugiés pour 150.000 habitants. Toutes les solutions possibles sont recherchées pour les héberger. Mais aujourd’hui, les mentalités ont évolué et les migrants ne sont plus forcément les bienvenus aux yeux de la population.
“Ça coûte beaucoup d’argent et c’est un danger pour la paix sociale, car on va avoir moins d’argent à dépenser pour notre population. Il faut que la chancelière donne un signal, qu’ils trouvent enfin une solution, sinon les électeurs vont aller voir ailleurs“, prévient Peter Dreier, président du canton de Landshut.