La police doit se rendre quotidiennement au centre d’hébergement pour réfugiés de l’aéroport de Tempelhof. Pour des menaces, des blessures, des agressions sexuelles.
Il n’en est pas fait mention dans les statistiques de la police.
Pourquoi ces incidents ne sont-ils pas enregistrés dans les statistiques ? […] La raison[…] se trouve dans le système informatique de la police appelé Poliks. Les réfugiés ne peuvent pas y être saisis en tant qu’auteurs de délits, mais seulement comme victimes.
(Traduction Fdesouche)
Berliner Zeitung