Le dos à vif. Fin février, Maria, une habitante de Bagnolet (Seine-Saint-Denis), découvre dans la rue, une chatte entre la vie et la mort. L’animal est brûlé jusqu’à l’os sur 50 % de son corps par ce qui ressemble à des jets d’acide, relate Le Parisien. Maria décide alors d’appeler une association de protection des animaux.
L’association de l’école des chats intervient et prend en charge la chatte. La première d’une longue série. La présidente de l’association va en effet devoir gérer de nombreux cas similaires, en l’espace de quinze jours.
« Il faut que le ou les auteurs soient punis »
Moustache, un mâle adulte tigré marron est aussi retrouvé par l’association, brûlé au 3e degré sur 40 % de la surface de son corps. Dans le même temps, la première chatte, ne s’en sort pas. Elle est euthanasiée. Moustache, lui, est encore en convalescence.
Selon les informations du Parisien, le 10 mars, un autre chaton femelle est retrouvé, pour les mêmes causes, avec 40 % de la surface de son corps brûlé au 3e degré. Deux autres animaux sont également retrouvés dans le même état.
(…) 20minutes.fr