Londres vient de vivre un coup de théâtre dans les “Panama Papers”. Après avoir nié posséder un compte offshore, le Premier ministre britannique, David Cameron, a finalement de faire machine arrière, jeudi 7 avril. Il a reconnu dans une déclaration télévisée qu’il a détenu dans le passé des parts dans le fonds offshore de son père.
Il a affirmé avoir vendu ces parts en janvier 2010 pour environ 30.000 livres (37.000 euros), quelques mois avant d’être élu Premier ministre, et qu’il n’y avait “rien d’illégal” dans sa démarche.