Avant sa rencontre avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán mardi, l’ancien chancelier Helmut Kohl (CDU) a critiqué l’ouverture des frontières pour les réfugiés.
“La solution réside dans les régions concernées. >Elle n’est pas en Europe. L’Europe ne peut devenir une nouvelle patrie pour des millions de personnes en détresse de par le monde », a écrit Kohl dans la préface de l’édition hongroise de son livre «Par souci de l’Europe”, comme le rapporte le journal “Tagesspiegel am Sonntag “. (…)
L'ex-chancelier allemand Helmut Kohl estime que l'Europe ne peut "devenir une nouvelle patrie" pour les migrants pic.twitter.com/NDpUopuPyc
— iTELE (@itele) 16 avril 2016