Les patrons sont formels, les politiques tentent de colmater ce qui peut l’être : la ville région de Bruxelles connaît sa pire crise de l’après-guerre en raison des attentats du 22 mars. Cette capitale d’un peu plus d’un million d’habitants pourrait voit disparaître rapidement 10 000 emplois, selon la Chambre de commerce et d’industrie de la ville. Quelque 31 000 personnes, vivant à Bruxelles ou dans les zones contiguës, ont déjà été placées temporairement au chômage. Et la baisse du chiffre d’affaires des entreprises oscille entre – 20 % et – 40 %. (…)
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