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01/05/2016

Interview du Renard par Spatha

Quel est le but du Renard du Net ?

Mon but est de veiller sur la twittosphère, afin de repérer les candidats potentiels au terrorisme, mais aussi de traquer ceux qui diffusent des propos discriminatoires et francophobes sur Twitter en toute impunité. Leur haine viscérale envers les « sales petits français » sur notre propre sol est inadmissible et révèle par ailleurs l’échec de la politique d’intégration de ces individus – pour la plupart eux aussi Français.

Nous souhaitons ainsi interpeller les associations « antiracistes » qui sont en inadéquation avec ce que vivent quotidiennement les Français.

Le Renard traque, puis il croque.

Comment vous est venue cette idée ? Pourquoi ce nom ?

Depuis les attentats de 2015, les messages de haine pullulent sur les réseaux sociaux. Parallèlement à ça, on nous demande de ne pas faire d’amalgames et d’être repentants, car nous pourrions aussi avoir une part de responsabilité indirecte dans ce que nous avons vécu.

Ma vision est beaucoup moins laxiste, nous devons faire preuve d’intransigeance et de fermeté face à ceux qui vomissent tous les jours la France sur les réseaux sociaux, en particulier sur la twittosphère. Insulter la France et appeler au massacre des Français est le premier pas vers le terrorisme.

Les cafards prolifèrent sur le 2.0, c’est pourquoi le Renard – animal rusé et qui se faufile là où on ne l’attend pas – vient mettre un coup de pied dans leur nid de putréfaction idéologique afin de les exposer à ceux qui se refusent d’admettre leur existence.

En moins de deux mois, nous avons recensé près de 850 brebis galeuses sur notre compte Twitter. Que fait le Gouvernement face à tous ces messages de haine ? Rien. La prise de conscience est nécessaire, elle sera de gré ou de force auprès du grand public.

Vous travaillez seul ?

Je ne travaille plus seul. J’ai une équipe sur Twitter : la #TeamRDN. Le niveau d’engagement des membres de cette équipe – et plus largement, celle de nos abonnés – est tel qu’ils participent eux aussi à la traque du Renard. Notre travail devient ainsi participatif et le fait de ne pas travailler seul permet de tisser un réseau tentaculaire entre les patriotes du net.

Mais j’ai avant tout la chance d’avoir une équipe dans la vraie vie : nous sommes plusieurs à veiller sur les réseaux sociaux. Jeunes actifs aux sensibilités politico-confessionnelles différentes, nous sommes animés par la même richesse : un amour indéfectible de la France.

Vous faites déjà 5 fois plus de retweets que SOS Racisme qui a 14.000 abonnés, alors que vous n’existiez pas il y a 2 mois et qu’eux sont subventionnés 1,4 millions d’euros par an. Vous leur mettez un peu la honte. Quelle est la raison de ce succès d’après vous ?

C’est assez révélateur de l’état de profonde léthargie dans lequel se trouvent certaines associations antiracistes. Le succès de ce concept du « Renard du Net » s’explique tout simplement par le fait que nous répondons à une demande de justice et d’équité dans le traitement des discriminations.

En effet, il y a une forme de racisme qui est majoritaire dans notre pays. Aux yeux de certaines associations antiracistes sur-subventionnées, le racisme anti-blanc semble être de gravité moindre – voire nié. Le Renard du Net a réussi à s’imposer sur la toile et à s’enraciner de manière durable, car il défend les opprimés, les oubliés.

Ensemble, nous formons une véritable force de frappe afin de faire valoir notre combat. Nous existons depuis le 1er mars 2016, nous ne recevons aucune subvention et nous faisons le travail que d’autres ont oublié de faire, par zèle idéologique.

L’opinion publique a déjà beaucoup évolué sur le racisme anti-blanc. De complètement nié, il commence à être largement accepté et tourné en dérision. Qu’est-ce qui explique cette prise de conscience selon vous ?

Les associations sont toujours très promptes à dénoncer les « méchants blancs racistes » envers les « minorités opprimées ».

Il vous suffit de voir la dernière campagne de lutte contre le racisme du Gouvernement, où certaines discriminations semblent avoir été malencontreusement omises.

Mon équipe et moi veillons tous les jours sur la twittosphère. Le racisme anti-blanc est de loin le premier que nous rencontrons, tant en intensité qu’en quantité. Il n’est ni moindre, ni pire, mais il est le premier !

Cela participe aussi à cette prise de conscience publique concernant le racisme anti-blanc : les personnes concernées n’ont pas été représentées à travers cette campagne, elles se posent des questions. Enfin, la démocratisation de termes tels que « sale babtou » (particulièrement chez les jeunes) agace de plus en plus les personnes concernées, moquées et discriminées.

L’antiracisme à géométrie variable est le premier pas vers le racisme.

Avec votre compte twitter, on réalise combien le racisme, la misogynie, l’homophobie et l’antisémitisme sont loin d’être l’apanage du méchant blanc consanguin systématiquement désigné comme l’ennemi public n°1. N’avez-vous pas peur d’être accusé d’attiser la haine envers les minorités raciales, en ne cachant pas l’origine ethnique des auteurs des propos nauséabonds que vous affichez ?

Que ces personnes osent me reprocher de vouloir attiser la haine alors que je la dénonce !

Il est vrai qu’une personne protégée – tant mieux pour elle – et qui n’a jamais été confrontée à ce que vivent la plupart des Français peut se permettre de porter un jugement quant à notre combat.

C’est pourquoi je les invite à se défragiliser en venant faire un tour sur le compte Twitter du Renard du Net.

Pensez-vous qu’un compte twitter qui compte x milliers d’abonnés peut changer quelque-chose dans un pays de 66 millions d’habitants dont la plupart ne sont pas inscrits sur twitter ?

Twitter et les réseaux sociaux sont un outil. D’ici la fin avril, nous aurons dépassé les 5 millions de vues depuis le lancement du Renard du Net le 1er mars. Nous sommes désormais sur Facebook et YouTube.

Nous avons déjà lancé un « teaser » ainsi que notre première vidéo.

Nous savons d’ores et déjà qu’elle sera massivement relayée et qu’elle va faire le « buzz ». Nous espérons atteindre un maximum de personnes, pour justement sortir de Twitter et exposer notre travail au grand public.

Certains patriotes estiment que vous vous mettez au niveau de la pleurniche victimaire des associations antiracistes. Ne craignez-vous pas cet effet pervers ?

Le déséquilibre est tellement abyssal entre la pleurniche antiraciste et la réalité du racisme anti-blanc… Je ne fais que rétablir cet équilibre. Je fais de l’antiracisme de réalité : le racisme anti-blanc n’est pas un fantasme car je dénonce le tabou majeur de la société française. Être victime de haine raciste ne fait pas de nous des victimes honteuses. Le Renard du Net est donc légitime dans ce combat et durera tant que le problème ne sera pas traité par d’autres.

Quel est l’avenir du Renard du Net ? Parlez-nous de vos projets.

Nous avons déjà été censurés deux fois : d’abord sur Twitter, ensuite sur Facebook. Nous dérangeons, c’est pourquoi nous allons amplifier notre concept.

Dans les semaines à venir, le Renard s’imposera sur la twittosphère ainsi que sur d’autres réseaux sociaux comme un disrupteur et un influenceur. Jetez par exemple un œil à l’article de 20 Minutes du 15 avril 2016 (qui nous mentionne) où est évoquée la recrudescence des retraits de contenus web à caractère terroriste – article que nous leur avons, disons-le, servi sur un plateau.

Enfin, les associations antiracistes sur-subventionnées sont dépassées par les événements. Elles seront obligées de mettre à jour leur logiciel et d’élargir leurs œillères. Espérons alors que les Français soient à l’avenir plus entendus.

Concernant nos projets sur du long terme, vous en entendrez parler dans les mois à venir…

Les anti-racistes autoproclamés se défendent en considérant que le racisme n’existe que s’il renvoie à une oppression institutionnalisée, théorie du complot “de souche” communément admise chez encore beaucoup de Français.


30/04/2016

Le Renard du Net a recensé près de 850 tweets en moins de 2 mois : racisme anti-blanc, francophobie, apologie du terrorisme… Traquons ensemble la racaille qui sévit en toute impunité sur Twitter ! #TousUnisContreLaHaine

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