Qu’il s’agisse d’une crainte d’alimenter l’islamophobie ou de celle d’«excuser» les terroristes, ceux qui étudient les phénomènes djihadistes et les questions islamistes sont encore peu reconnus en France. Au risque de contribuer à la confusion générale alors que l’opinion a besoin de réponses concrètes après les attentats.
(…) Slate.Fr