Après le passage de l’accord sur les migrants, Ankara devait obtenir plusieurs contreparties. Une aide financière de six milliards d’euros, la reprise des négociations d’adhésion, et une mesure extrêmement symbolique, la libéralisation du régime des visas de tourisme.
Pour l’obtenir la Turquie doit remplir 72 critères, notamment en matière de droits de l’Homme. Mais sa loi anti-terrorisme est considérée comme liberticide