Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne depuis novembre 2014, revient, pour Le Monde, sur ce qu’il appelle la « polycrise » à laquelle l’Europe est confrontée.
Les Autrichiens pourraient élire un président d’extrême droite, dimanche 22 mai. Vous avez appelé à voter pour le candidat du Parti vert. Vous confirmez cet appel ?
A la perspective de voir la droite pure et dure et l’extrême droite l’emporter, je me sens obligé de dire que je ne les aime pas. Les Autrichiens n’ont, paraît-il, pas apprécié mais je m’en moque : avec l’extrême droite, il n’y a ni débat ni dialogue possible. […]
Le Monde