Un couple et ses trois enfants, passait ses nuits dans une voiture. Une détresse soudaine entraînée par le résultat négatif d’une demande de droit d’asile. Ce refus avait eu pour conséquence l’expulsion de leur logement, dans la cité Henri-Lafarge à Limoges…
L’intervention qui a permis de débloquer la situation est celle d’une Haut-Viennoise. Cette habitante des environs de Limoges, qui dispose d’un logement vacant, a décidé de le mettre à disposition de manière gracieuse, « le temps de voir comment les choses évoluent », explique-t-elle au téléphone. Près de vingt jours après avoir été expulsés, les cinq membres de la famille ont pu passer samedi leur première nuit « normale ».
Autre motif de satisfaction, un chef d’entreprise de Limoges, touché par leur histoire, aurait pris contact avec les proches soutiens de la famille. Des discussions devraient avoir lieu ces prochains jours pour parler d’un éventuel travail.
La Montagne
Merci à Jesse James