Leur nombre augmente en raison de la crise migratoire. Pris en charge par les départements, ils représentent aujourd’hui entre 10 % et 20 % des jeunes suivis par l’aide sociale à l’enfance.
Dans le Val-d’Oise, la facture est passée de 4 à 17 millions d’euros en quatre ans. Et l’État fait la sourde oreille pour participer au financement. […]
Le Figaro