“Mohamed Ali faisait passer sa race avant sa patrie, il voulait rendre la monnaie de sa pièce à l’Amérique blanche, c’était l’esprit de l’époque qui privilégiait les minorités raciales ou sexuelles sur la majorité”
“Clinton et Obama vantent le rebelle, le combattant, mais les mots sonnent creux. On n’est plus dans les années 60, les rebelles d’hier sont les maîtres d’aujourd’hui. L’Amérique blanche a perdu ses certitudes, la mondialisation a transformé la fière classe ouvrière de naguère en “petits blancs”. On parle espagnol à Los Angeles ou Miami. La discrimination positive a permis à de nombreux noirs d’entrer à l’université, l’hôte de la Maison Blanche s’appelle Barack Hussein.”