Lundi soir, à 21h45, une femme de 39 ans est venue déposer plainte au commissariat pour violences conjugales. Elle explique que cela n’est pas la première fois et que son compagnon de 32 ans a menacé avec une arme blanche son fils de 12 ans, issu d’une première union.
A ce moment-là, déboule à l’hôtel de police son concubin passablement énervé. Il la menace avec beaucoup de virulence devant les fonctionnaires qui l’interpellent et le placent en garde à vue. Fin du premier acte.
Mardi matin, un policier lui porte son petit déjeuner en cellule. Le trentenaire le jette dans les toilettes avant d’uriner dessus. Pis, il réclame des cigarettes. Le fonctionnaire lui explique que c’est impossible, ce qui plonge le compagnon violent dans une colère noire et il dérape.
“Je vais tous vous égorger bande de sales Français. Vous pouvez me mettre en prison, je n’ai pas peur des juges. J’irai en Syrie, et ensuite j’égorgerai vos fils”, crie-t-il dans le commissariat.
(…) Sud Ouest