Environ 30.000 km de clôtures et de murs ont été construits, dont une partie à la suite de la crise des réfugiés, rapporte BBC World. Ces délimitations séparent les espèces menacées, tels que les cerfs et les ours, et augmentent leur mortalité.[…] « Les animaux tentent de traverser la clôture et restent coincés », poursuit le Dr Matt Hayward. Les populations s’isolent. Si ses clôtures sont efficaces, les animaux ne peuvent pas bouger d’un côté à un autre et la population est séparée, ce qui réduit la diversité génétique des espèces et augmente les risques de reproduction entre eux. »
L’étude soutient que les états devraient songer à ouvrir leurs clôtures lors des périodes cruciales de la migration animale et de considérer différents types de clôtures qui représentent un risque moindre pour les espèces.
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