Plus de 850 jeunes filles sont signalées pour radicalisation en France.
Ciblées par l’Etat islamique, elles sont issues de tous les milieux sociaux et intellectuels, peu ou pas pratiquantes, en rupture scolaire ou pas. Leur profil est donc difficilement décelable. En quête d’idéal et d’identité, elles sont souvent prêtes à s’engager pour des causes extrêmes. Sur les 420 mineurs français présents en Irak et en Syrie, un sur trois serait une fille, soit trois fois plus qu’il y a trois ans.
