Fdesouche

Dans une tribune publiée par “Libération” ce 17 août, l’éditeur égyptien Aalam Wassef soutient l’interdiction du burkini par certains maires français, explique qu’il ne faut pas être “naïf sur le symbole de cette étoffe”, refusant toute attaque en “islamophobie” et expliquant qu’il en va même de la survie de l’islam, menacée par la mouvance extrémiste wahhabiste depuis plus de deux siècles, celle-là même qui a imposé ses règles en Arabie saoudite.

Aalam Wassef le dit haut et fort : “Il n’y a aucune honte à condamner l’extrémisme islamiste et à lui barrer la route par tous les moyens légaux possibles. Il n’y a là rien de politiquement incorrect ou de comparable au discours raciste et antimusulman du Front national.” Pour lui, il en va même de la survie de l’islam, menacée par l’importance prise par le wahhabisme “depuis plus de deux siècles”.

Dans une tribune publiée ce 17 août dans Libération, au sein d’un ensemble consacré au débat sur le burkini, l’éditeur égyptien Aalam Wassef revient sur l’idéologie cachée derrière cette tenue de bain islamique, celle d’une mouvance extrémiste de l’islam : le wahhabisme. […]

L’éditeur, qui salue la décision des maires français d’interdire le burkini sur leur plage, veut également combattre l’idée que toute opposition à ce vêtement serait un acte “islamophobe” :

Il est fréquent d’entendre que le niqab, le voile ou le burkini relèvent de “la liberté d’expression” ou du “droit des femmes à disposer de leur corps”. S’y opposer, c’est être “islamophobe”, c’est-à-dire s’attaquer à tous les musulmans. L’objectif est naturellement que toute condamnation justifiée du wahhabisme institutionnel en particulier soit rapidement perçue et narrée comme visant les musulmans français en général.” […]

Marianne

Fdesouche sur les réseaux sociaux