“Vous êtes là Monsieur Zemmour pour réaliser jusqu’à quel point votre analyse fait plus de mal que le mal radical que vous analysez…
J’ai lu votre dernier livre. “Encore un caca pour rien”.
Votre haine du musulman n’est pas seulement dialectique mais DIABOLIQUE. C’est le mal qui appelle le mal.
Ça me rappelle Khayyâm : “Dieu, si je fais le mal et que tu me punis par le mal : quelle différence y a t-il entre toi et moi ?”
Autrement dit Monsieur, vous ne valez guère mieux qu’un fou de Dieu, parce que si lui ne sait pas ce qu’il fait en versant le sang des innocents, vous, vous le savez, en incitant d’autres à en faire autant.
Écoutez-vous, jeune homme.
==> “Je n’ai pas tué 180 personnes à Nice en criant Allah Akbar !”
Peut-être parce que vous n’avez pas de permis “poids lourd” ?
Ou peut être parce que votre nuisance va bien au-delà de ce chiffre, elle est fonction de l’audience et se chiffre par milliers… que vous incitez à s’entretuer…
Trêve de plaisanterie : la séance de “dératisation” commence.
Taisez-vous ! Taisez-vous !
Je sais que vous n’avez rien dit, mais j’utilise la méthode Finkielkraut car il vaut mieux guérir que prévenir, n’est-ce pas ?
Je vous déra-dicalise !
Debout… assis… debout… assis… à genoux !
Oui c’est à vous que je m’adresse… et vite parce que le temps presse.
Maintenant : fermez bien les yeux… pour cesser de voir le mal partout. Vos paupières sont lourdes mais beaucoup moins que votre pensée de derrière… votre arrière pensée mesquine et assassine.
Nous sommes le 14 juillet…à Nice…
Vous êtes entrain de faire une petite ballade… à l’anglaise pour aérer un peu votre âme maussade, quand vous voyez débouler un camion… qui écrase tout sur son passage.
Il est à quelques mètres de vous… vous avez juste le temps de réaliser que vous n’en avez plus pour très longtemps… une seconde, moins d’une seconde… c’est mort… vous êtes mort Monsieur.
Qu’est-ce qu’il aurait fallu faire pour échapper à cette mort de travers ?
C’est utile à savoir : il aurait fallu dire Allahou Akbar pour que le mal ne vous atteigne pas.
Le nom de Dieu suffit, rien que son nom pour comprendre ce dont il s’agit… Dieu est grand… signifie ça, en comparaison de quoi tout le reste est petit, vous et moi compris !”