L’ancien Premier ministre François Fillon était, dimanche 2 octobre, l’invité de Dimanche en Politique sur France 3.
Il est évidemment venu évoquer sa candidature à la primaire de la droite et du centre. Interrogé sur son manque de popularité, il répond en expliquant ne pas chercher à plaire à tout prix. Son souhait ? “Je veux redresser la France“, dit-il, énumérant ensuite les problèmes de la France : l’ismalisme, le terrorisme, la pauvreté grandissante, le fait que “le pays soit en train de se vendre“, notamment auprès du Qatar.
L’un de ses principaux engagements en tant que candidat ? “Le plein emploi“, dit-il, soit environ 5% de chômage en cinq ans. Selon le député de Paris, il faut une vraie “rupture“: pas celle de Sarkozy, qui préconise les mêmes recettes qu’en 2007, ni celle de Juppé, qui veut remettre le pays à flot en douceur. “Je suis aussi éloigné de Sarkozy que de Juppé“, confie-t-il. Selon François Fillon, seule une rupture peut redresser le pays et “arrêter la chute”. Dans le reste de l’interview, François Fillon est invité à évoquer l’actualité économique et sociale, notamment le dossier Alstom.
