Ali Charrihi a perdu sa mère Fatima le 14 juillet dernier, sur la Promenade des Anglais. Trois mois après, digne, il témoigne de son engagement pour qu’un tel attentat ne se reproduise plus.
“Comme j’ai perdu ma mère, dit-il, j’ai pas envie que ça arrive à quelqu’un d’autre. Je m’investis, j’ai une mission à faire, c’est de faire le tour des collèges, des lycées. Je voudrais aider les jeunes à se déradicaliser. Leur faire comprendre de la chance qu’on a d’être en France.“