Une jeune femme a été violée par un groupe de cinq hommes dans la jungle de Calais alors que la police française évacuait le camp de migrants
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Cinq hommes ont violemment agressé une réfugiée éthiopienne, qui ne peut être nommée pour des raisons légales, alors que la police et les volontaires évacuaient le vaste bidonville.
La victime a été examinée par un médecin légiste mais elle avait des difficultés pour raconter son agression, survenue mardi matin, puisqu’elle ne parle qu’un dialecte éthiopien.
Elle demeure encore actuellement à Calais, jusqu’à ce qu’un traducteur soit trouvé, indique une source.
(…) Daily Mail
(Merci à Seb pour la traduction)
C’est une « structure associative » qui aurait fait remonter ces accusations auprès du parquet de Boulogne-sur-Mer, hier matin : une réfugiée aurait été violée par cinq personnes dans la nuit de lundi à mardi. Les faits se seraient déroulés « a priori dans la Jungle ». Difficile d’en savoir plus à ce stade, car les sources policières, très sollicitées par la presse en plein démantèlement, restent discrètes sur ce dossier.
La victime a été entendue et surtout examinée par un médecin légiste mardi dans l’après-midi. Un examen privilégié tant il est déterminant pour établir des faits d’une telle gravité. L’audition de la victime n’a pas été réalisée à proprement parler, car elle parle « un dialecte éthiopien très particulier », pour lequel les traducteurs ne courent pas les rues…
Merci à Mielrubis