(…) Adulé par les uns, vu comme une fascinante bête de foire par les autres, il bénéficie d’une énorme couverture médiatique. Pendant sa campagne, il ne s’entoure que de ses proches, n’a pas de speechwriter, ne commande pas de sondages… Nul analyste ou universitaire pour épauler Donald Trump, mais Stephen Bannon du site «alt-right» Breitbart.com (lire Libération des 8 et 9 octobre) ou Roger Ailes, ancien patron de Fox News viré pour harcèlement sexuel… «C’est comme s’il avait FdeSouche et Valeurs actuelles dans son équipe de campagne ! compare Marie-Cécile Naves. Ce ne sont ni des experts ni des spin doctors, mais des idéologues de l’ultradroite et des spécialistes de la communication.» Un mois après l’annonce de sa candidature, Trump prend la tête des sondages dans le camp républicain. Pour ne plus jamais la quitter.
(…) Libération
(Merci à sweethomealabama)