Pour une dictée équivalente, les élèves de CM2 ont fait, en 2015, 17,8 erreurs contre 14,3 en 2007, et 10,6 en 1987. « Le texte ne présente pas de difficultés linguistiques particulières, apprend-on à la lecture de cette note d’information.
En revanche, il met l’accent sur la gestion des chaînes d’accord, et nécessite d’en assurer la continuité tout au long de la dictée. » L’augmentation des erreurs semble transcender les catégories socio-économiques. En revanche, on n’observe pas de dégradation en compréhension de l’écrit. Et pas d’aggravation en ZEP.
Merci à Lilib