Les riverains du camp de Stalingrad reprochent à France Terre d’asile d’avoir attiré les migrants dans leur quartier. Pierre Henry, son directeur général répond.
Un « camp » humanitaire de 400 places a ouvert ses portes, jeudi 10 novembre, boulevard Ney, près de la porte de la Chapelle dans le 18e arrondissement de Paris. Réservé aux hommes seuls arrivés depuis peu en France, il doit être doublé, d’ici à la fin de l’année, d’une deuxième structure destinée aux familles et aux enfants dans le sud de la capitale.
L’ambition de ces deux structures ? Éviter que des bidonvilles comme celui de Stalingrad, qui abritait plus de 3.000 migrants lors de son démantèlement début novembre, ne se reforment sur la voie publique. Pierre Henry est directeur général de l’association France Terre d’asile depuis 1997. Il a été membre du conseil d’administration de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) de 2005 à 2011. […]
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