Treize heures par jour, ces “petites mains“, littéralement, seraient chargées d’assembler les petits éléments qui constituent les surprises. En général, le travail se fait à domicile, “en famille”. Le témoignage de l’une d’elle a été publié sur le site internet du journal en début de semaine.
L’enquête montre aussi des conditions de travail sommaires et un manque d’hygiène certain. Ce que confirme un informateur chez Ferrero, qui estime impossibles les contrôles au domicile de ces ouvriers de fortune, dans des conditions d’hygiène peu compatible avec un produit directement en contact avec le chocolat.
Par exemple, dans la famille Juri – deux filles de 6 ans, un garçon de 11 et leurs parents – on reçoit de la part de Ferrero un peu moins de 5 € tous les mille œufs. 3,80 livres sterling.
Est Républicain
Merci à Jesse James