Dans une note confidentielle, rédigée début novembre, émanant du préfet de la zone de défense du sud-est, que nous avons pu consulter, le haut fonctionnaire sensibilise les services d’intervention et de secours, et notamment la police, sur l’utilisation possible de drones piégés au cours d’actions terroristes sur le sol français.
Dans cette note, il est fait référence à une attaque de ce type perpétrée, le 2 octobre, à Erbil, la capitale du Kurdistan irakien, au cours de laquelle un drone piégé a été envoyé par un groupe terroriste lié à Daech en direction de combattants peshmergas et des forces spéciales françaises.
Intercepté, ce drone a fini par exploser au sol entraînant la mort de deux combattants kurdes et occasionnant de graves blessures à deux soldats français. […]
Le Parisien
Merci à bleu marine