La question du harcèlement de rue est revenue sur la tapis à l’occasion d’une énième campagne d’information aussi navrante qu’inutile mise en place par la Ville de Paris.
Expliquer aux racailles que c’est pas cool d’harceler les filles dans la rue, qu’elles ont le droit de s’habiller comme elles veulent sans se faire traiter de salopes et qu’elles ne sont pas à leur disposition, c’est du blabla.
Autoriser les flics à leur casser les genoux et à lâcher les malinois sans muselière au moindre “eh mademoiselle t’es charmante” un peu insistant, c’est du concret.
On en est arrivés à un stade où faut troquer les pincettes pour les matraques.
Bordel.
Marsault